Parlons vrai, Jean-Pierre Mattei, Gilbert Collard, Corruption, Justice, Crédit Agricole, Dominique de Talancé, Jean-Pierre Mattout, Thierry Coste, Jean-Paul Chifflet
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Xavier de Fontgalland


Résumé d'une vie professionnelle abusivement amputée de ses vingt dernières années, a priori les plus déterminantes et les meilleures, au moins pour la constitution d’une retraite :


Préalablement, mon expérience professionnelle comporta un parcours de 16 années au sein de trois établissements financiers de premier rang spécialisés dans le capital développement.

Je fus notamment à l'origine et/ou responsable de plusieurs investissements et désinvestissements d’importance, de la création de plusieurs sociétés de commerce international, puis chargé de la constitution d'une société d'investissement cotée et, plus généralement, membre du conseil d'administration de diverses entreprises, cotées en bourse ou non.

Ce fut en un temps, et dans des structures, où les primes et autres bonus étaient presque insignifiants.


Etudes supérieures scientifiques puis en économie et en finance, à Paris (classes préparatoires A', licence d'économétrie et Sciences Po) et à Philadelphie (MBA Wharton School, boursier du gouvernement français) ; séjours de 8 ans en Afrique, de près de 3 ans aux Etats-Unis, de plus de 4 ans en Grande-Bretagne, et plusieurs missions professionnelles dans divers pays étrangers.


Administrateur, cofondateur et trésorier pendant 14 ans, d’une fondation culturelle internationale reconnue d’utilité publique.

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Il est inutile d'en dire beaucoup plus. Cependant, si des méprises surgissent, je dois prévenir d'éventuels malentendus : je ne cherche pas à nuire au CA, ambition qui serait médiocre ; ma famille et celle de mon épouse, qui appartient à une famille de militaires fauchés, n’ont jamais eu de fortune. Nous ne pouvons aujourd'hui subsister et agir que grâce à des bienfaiteurs.


Par rapport aux faits rapportés ici, et comme le plus souvent, la question « qui suis-je ? » a moins d’importance que celle, bien connue : « à qui a profité le crime ? » Ce site a donc été conçu pour inciter à ce que toute la lumière soit faite, tant je suis sûr que les raisons ici développées ne sauraient « craquer » dès lors qu’il y aura confrontation publique.


Un de mes parents, A. de Fontgalland, a été l’un des tout premiers fondateurs de l’institution Crédit Agricole après avoir créé à Die le 1er syndicat agricole du Sud-Est, le 31 août 1884. Il fut longtemps président de l’Union des Syndicats Agricoles du Sud-Est et de la Caisse Régionale de CA Sud Est et, je crois, unanimement reconnu pour ses compétences, sa probité et ses qualités humaines.


Ce ne fut pas le cas de l’un des directeurs du CA Centre-Est qui fut mis en difficulté il y a quelques années pour avoir approuvé des montages douteux. Il n’est pas déplacé de rapprocher ce comportement de celui de Maurice Laouchez, dirigeant indélicat d'une Caisse Régionale contre qui le CA dut se retourner et finit par obtenir gain de cause avant de lui abandonner 90% de ce gain judiciaire, soit 10 M€ tout de même, grâce au réseau constitué !


Alors que rien ne m’était reprochable, j'ai été utilisé par Thierry Coste qui, après m’avoir soumis à un chantage avéré, a voulu se protéger des conséquences d’une gestion irresponsable en me prenant comme bouc émissaire. Il s'ensuivit un véritable empêchement de vie professionnelle qui s’est étendu à toute une famille. Pourtant, j’ai été bon serviteur, ni courtisan ni manipulateur : cela mérite mieux que le traitement infâmant qui m’a été réservé, indigne de la part de dirigeants d'un groupe nourri par l'esprit mutualiste.


Ma démarche étant par ailleurs conforme à l’intérêt général, je ne puis donc renoncer à obtenir enfin justice comme me le souhaita le directeur général d’une banque mutualiste. En évoquant par écrit la ‘pitrerie judiciaire’ qui m’a plus que ruiné (l’éventuelle pension de réversion de mon épouse, qui ne possède rien non plus, serait d’environ les 2/3 du Smic), il sut faire admettre par Jean Laurent - après 5 interminables années d’attente - le principe d’une transaction honorable afin de me dédommager, alors que je venais d’être condamné en dernier recours ! Malheureusement, cette transaction fut dénaturée à la dernière minute sous la pression de Thierry Coste.


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PARLONS VRAI ...     CRÉDIT AGRICOLE SA a manipulé la justice.


Personne ne m’a poursuivi pour diffamation.