Parlons Vrai, Crédit Agricole, Corruption, Lanceur d'alerte, BNP-Paribas

DOMMAGES SUBIS


La conduite de ces procédures judiciaires ayant été manipulée par Crédit Agricole SA, le directeur général d'une banque tierce, au-dessus de tout soupçon et informé depuis plus d'un an, écrivit dès 1999 au directeur général de Crédit Agricole SA qu’il lui fallait réparer les dommages causés par ce qu’il qualifia de « pitrerie judiciaire », évoquant la lutte bien connue du « pot de terre contre le pot de fer ».


En 2007, peu avant sa mort, ce directeur général continua à souhaiter que j’obtienne justice. Il savait d’expérience ce que c’est que de vivre si longtemps une telle épreuve – infligée sans motifs - dans la souffrance familiale, la calomnie et l’incompréhension.

Il avait aussi imaginé le cortège indicible de tourments qui s’ajoutent à la ruine : stress continu, sans cesse réactivé par les procès, huissiers, tracasseries en tous genres, dépendance financière croissante, mort sociale, impossibilité de trouver un vrai travail (près de quatorze années de chômage total), sans compter les dommages collatéraux, physiques et moraux …


  


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J'ACCUSE LE CRÉDIT AGRICOLE d'avoir fait commerce de justice


Personne ne m’a poursuivi pour diffamation.