Parlons Vrai, Crédit Agricole, Corruption, Lanceur d'alerte, BNP-Paribas

Dans un autre pays "civilisé", comment une telle affaire aurait-elle été traitée ?


Il revient aux spécialistes de répondre.


Ce qui est déjà certain, c'est qu'une procédure orale au commerce et au civil m'aurait exonéré de toute responsabilité et aurait rendu bien meilleure justice.


Le résultat de la procédure pénale qui me fut totalement favorable sur Cap-D, grâce notamment à l'audition de témoins et à l'attitude honnête du procureur de la République lors des audiences correctionnelles, permet de l'affirmer. L'hydre n'aurait même pas eu une petite souris à se mettre sous la dent.


Là réside une profonde anomalie de notre justice : privilégier à l’excès la procédure écrite, c'est donner à penser que la vérité ne peut sortir que d’écrits et faire une absolue confiance dans les délibérations secrètes des juges. Or, certains en profitent pour ignorer des pièces en faveur d'une partie. C'est ce que j'ai subi tout au long des procédures.


Il ne s'agit pas d'une allusion acrimonieuse mais, là encore, d'un constat.

  


PARLONS VRAI ...     CRÉDIT AGRICOLE SA a manipulé la justice.


Personne ne m’a poursuivi pour diffamation.