Parlons Vrai, Crédit Agricole, Corruption, Lanceur d'alerte, BNP-Paribas
Parlons Vrai, Crédit Agricole, Corruption, Lanceur d'alerte, BNP-Paribas

RÉSUMÉ


A la suite d’un changement brutal au niveau de sa direction générale, Crédit Agricole SA faillit, au printemps 1991, à sa promesse d’augmenter le capital de la société Cap-D (= "Capital-Développement"), ce qui provoqua le dépôt de bilan de cette sous-filiale dont Crédit Agricole SA était gestionnaire de fait et à la direction générale de laquelle elle m'avait promu.


Rattrapée par la justice, Crédit Agricole SA - qui n'avait rien à reprocher à l'ancien collaborateur que j'étais - obtint de me faire condamner définitivement à sa place au début de l'année 2002, dans des conditions ahurissantes (corruption d'auxiliaires de justice, manipulations, tromperie de juges…).


En avril 2003, puisque j'avais été condamné en dernier recours, Crédit Agricole SA accepta de me consentir une transaction dont les conditions (« à prendre ou à laisser ») furent, à la dernière minute, drastiquement diminuées et assorties d'une clause pénale de confidentialité d'un montant faramineux :

La maigre compensation de mon rôle de bouc émissaire exigeait mon silence.


Ayant été gravement abusé pendant de trop longues années d’avanies aussi éprouvantes que totalement injustifiées, les conditions de négociation de cette transaction ayant été très anormales, j'ai été contraint d'assigner Crédit Agricole SA en justice en janvier 2007 ; puis, toutes mes approches amiables - certaines plusieurs années durant - ayant échoué, je suis désormais contraint d’exposer publiquement cette affaire dans l’espoir de susciter une prise de conscience et d’obtenir enfin justice.


Crédit Agricole SA, Thierry Coste (ancien DGA de Crédit Agricole SA), Marie-José Josse (mandataire judiciaire) et Gérard Harmand (expert), ne m’ayant pas poursuivi pour diffamation publique, les pétitionnaires ne courent aucun risque de se heurter à un désaveu fondé de mon action.


La révélation des noms cités dans ma plainte pénale (ce texte a été conçu pour présenter l'ensemble de l'affaire; suffisamment argumenté, il se prête à une lecture rapide même s’il apparaît long ... comment faire autrement ?) est la conséquence du refus des personnes concernées de témoigner. Comment soutenir une telle cause sans être précis ? Il serait si facile de déclarer que mes affirmations ne sont pas sérieuses. Si ma plainte avait été prise en considération, nous n’en serions pas là (tout serait resté discret).

cf. Agenda récent

  


PARLONS VRAI ...     CRÉDIT AGRICOLE SA a manipulé la justice.


Personne n’ose me poursuivre pour diffamation.